
Londres aux Yeux d'une Fille de la Campagne
Jan 23, 2024
2 min read
1
30
Londres dans l'atmosphère nette de janvier, c'est vraiment célèste. Malgré des rues étant encore peuplées, Londres soi-même est muet. Les musées et l'architecture testent calmes, presque endormant, sous un ciel froid et rafraîchissant.
Ceci est une pièce créative et fictive.

Étant totalement éveillée et motivée en plein hiver, la ville – complètement tranquil – épouse la froide et se protège d'elle en même temps, curieusement. Il est temps de se recommencer avec une nouvelle vie, quand on est incité à explorer des nouveaux émerveillements. La ville Londres va faire attention à soi-même et ses habitants pour qu'elle soit sûre que tout ira bien.
Cette journée note le changement de l'hédonisme vers le nirvana. On peut finalement se mettre à l'aise. Peu de bison de sourire, pleura ou même penser. On peut simplement exister, prenant de l'inspiration des bâtiments immobiles.
Permet-on à se relâcher et tout autour de nous s'est occupé. On peut revenir avec un esprit frais devient du ciel vibrant et des eaux tranquilles de la Tamise, tout réfléchit par des gratte-ciels monumentaux.
Je réalise qu'il y a des cris venant d'un bar à travers la rue, vers mon gauche, qui avaient été interrompu la silence malgré ma transe forte. Ce bar semblait foncé mais douillet, le type où on se retrouve avec des amis proches, orné par le vert foncé classique, le couleur que tous les pubs anglais arborent. De cette petite construction en terraces et douillette, deux hommes trébuchent de l'entrée, des insultes marmonnées sonnant tout au long de la rue.
Un des deux fait les cent pas vers l'autre et commence à lui pousser, presque comme s'il était un caddie, vers la route. Heureusement, il n'y était pas de traffic. Soudainement, les cris arrêtent quand ils approchent le bord du trottoir et les deux soûlards restent en place pendant des minutes, comes une statue, un intimidant l'autre. Selon une perspective de dehors, c'est comme si je verrais une peinture d'une bataille dans la Renaissance, mais les deux visages font semblance de calculer quelque chose, yeux grands ouverts et sourcils froncés. Ils semblent d'avoir perdu leur manteau et il faut que la froide touche leurs os.
Le bagarreur dominant relâche l'autre, qui reste encore rebelle d'une manière ou d'une autre, et le laisse tomber vers la terre. Il se tourne soudainement, marche le long de la rue et disparaît dans le coin. L'autre homme, perplexe mais énervé, s'est levé et se traîne dans le bar. Il sort après un moment et part dans la direction opposée de son opposant pour rentre à la maison.
Les rues de Londres sont laissées encore une fois dans un calme silencieux et la paix s'est retournée à la ville comme si elle n'est jamais partie.